Aller au contenu

Le vrai du faux

Et si pour mieux comprendre #APTIC, on commençait par vous dire ce que l’on n’est pas !

Les préjugés ont la vie dure. On est conscient  que les apparences sont parfois trompeuses. Vous avez surement vous aussi des idées reçues sur nous, des questions que vous n’osez pas poser, on a essayé de ne rien oublier. Si vous ne trouvez toujours pas la réponse à vos questions, n’hésitez pas à nous en faire part.

Le vrai du faux #APTIC

Faux. Contrairement aux apparences, 96 % des revenus réalisés sur la vente des carnets de pass #APTIC est redistribué aux acteurs de médiation, soit plus de 3 millions d’euros depuis 2018. 

#APTIC a choisi la structure de la coopérative avec pour enjeu la répartition des richesses. Tous les bénéfices réalisés par #APTIC sont réinvestis dans le développement de nouvelles solutions d’inclusion numérique. De plus, nous sommes labellisés ESUS (Entreprise Solidaire d’Utilité Sociale) et les écarts de salaire sont strictement encadrés. 

La Coopérative a également une politique de transparence des informations. Vous pouvez consulter tous les comptes et les résultats sur Pappers

Si vous êtes intéressé, vous pouvez prendre part à nos investissements stratégiques en intégrant notre sociétariat.

Faux. Durant la première année de son existence, #APTIC s’est, en effet, attelé à créer un réseau et mailler le territoire. Néanmoins, nous sommes une coopérative qui, contrairement aux apparences, n’est pas subventionnée par l’État pour aménager le territoire. Au même titre que les déserts médicaux, l’inclusion subit le même problème dans certaines régions. 

Cependant, nous pouvons au titre d’une prestation, préalable au déploiement d’une stratégie d’inclusion numérique, réaliser une phase de recherche et d’enrichissement territorial. 

Pour ce qui est des zones déjà bien fournies, émerge pour nous une stratégie de numerus clausus pour à la fois maintenir un niveau de qualité élevé pour les bénéficiaires, mais aussi, en faveur des acteurs de médiation éviter de surdensifier une région afin de maintenir un ratio consolidateur.

Faux. #APTIC existe pour faciliter l’accès au numérique et cela passe par la valorisation du travail des acteurs de médiation et leurs lieux. En effet, sans ces personnes, la montée en compétences des bénéficiaires serait impossible. C’est pour cela que 96 % des revenus liés aux ventes des pass #APTIC sont reversés aux lieux de médiation, soit plus de 3 millions d’euros depuis 2018. 

#APTIC a un double effet pour les lieux de médiation : nous apportons une consolidation financière avec une source de revenus supplémentaires, mais également un effet d’attractivité des bénéficiaires dans ces lieux. En effet, 88 % des usagers ne connaissaient pas le lieu de médiation avant d’utiliser #APTIC.

C’est possible. 

L’usage raisonné et raisonnable des outils numériques fait partie des services proposés dans les Référentiels Nationaux #APTIC. Ce sujet fait partie de nos préoccupations, néanmoins, l’urgence numérique impose de le mettre en second plan afin d’éviter de laisser les écarts se creuser davantage.

Faux. Le pass #APTIC n’est qu’une solution parmi d’autres et ne suffit pas à lui seul. En effet, le pass est un moyen de paiement, mais il faut voir l’outil dans son intégralité. Il est essentiel de le coupler à des outils de pilotage, de suivi et de résolution afin de mesurer son efficacité et son impact social. 

Vous retrouverez toutes nos solutions ici.

Faux. Le pass numérique est un dispositif de l’État dont le pass #APTIC a été le seul lauréat offrant une solution pour opérer une stratégie d’inclusion numérique. Mais le pass #APTIC n’est pas le pass numérique. Le pass #APTIC existe en dehors du dispositif de l’État et peut opérer sur des marchés publics comme privés.

Pas vraiment. Il faut avant tout, dissocier l’idée d’une déperdition à celle de la non-utilisation des pass #APTIC. La mise en place d’une stratégie d’inclusion numérique par le pass #APTIC sous-entend un certain nombre d’étapes qui impactent le taux d’usage des carnets. Les étapes sont :

  • l’identification du public cible ;
  • la définition des moyens pour les atteindre ;
  • l’organisation de la distribution des carnets ;
  • le suivi du parcours de médiation numérique par les bénéficiaires.

La déperdition n’est donc pas forcément liée à un faible taux d’utilisation, mais peut correspondre à un défaut aux différentes étapes précédemment évoquées, notamment celle de la distribution des carnets de pass. Un pass non distribué ne peut pas être utilisé. 

Il est donc important d’identifier les causes de cette déperdition. Pour cela, il est possible de mettre en place de nouvelles solutions d’analyse aux différentes étapes afin d’appréhender les failles et les zones d’amélioration d’un déploiement. 

De plus, en comparaison, le chèque énergie à ses débuts avait un taux d’utilisation de 5 % ce qui correspond au temps d’amorçage du dispositif. Tout comme ce premier outil, le pass #APTIC suit sa courbe d’apprentissage et s’améliore chaque année.

Généralement, ce sont de fausses gratuités. En effet, cette gratuité est liée au statut de la structure, soit parce qu’il s’agit d’une association qui repose sur le bénévolat, soit que la structure repose sur des subventions et donc les services sont financés autrement. Quelles que soient les conditions de cette gratuité, le pass #APTIC apporte une source de rémunération supplémentaire pour apporter une consolidation financière et permettre une montée en compétences de ces acteurs de médiation.

Même si cela semble plus simple, c’est une fausse bonne idée pour plusieurs raisons. 

Mis à part une question simple d’organisation, mais aussi de confiance pour s’assurer que la transmission des carnets se fasse réellement aux bénéficiaires, de nombreuses raisons justifient ce choix.

  • En termes purement pratiques, un commanditaire n’a pas le droit de payer un acteur de médiation puisqu’aucune relation contractuelle n’existe entre eux. La transmission financière doit se faire au travers du bénéficiaire. 
  • Remettre le carnet de pass directement au bénéficiaire l’incite à s’investir dans sa montée en compétences tout en étant libre de suivre son parcours dans le ou les lieux de son choix. 
  • La distribution d’un carnet personnel garantit un impact social équitable. En effet, chaque carnet de pass #APTIC est attribué à une personne unique afin d’éviter que certains bénéficient d’un seul service et d’autres de quinze services et creuser les écarts. 
  • Ce fonctionnement permet également de s’assurer de la bonne remontée des informations associées à chaque carnet, ce qui fait partie intégrante de la promesse #APTIC et de la valeur ajoutée de notre solution.

Faux. Les MFS peuvent être des distributeurs (Aiguilleurs) de carnets de pass aux bénéficiaires, mais ne peuvent pas percevoir les pass #APTIC en échange d’un accompagnement.

Faux. Les conseillers France Service peuvent percevoir des pass #APTIC et accompagner des bénéficiaires. 

De plus, le dispositif des CnFS étant dépendant des subventions de France Relance qui sont maintenant terminées, le pass #APTIC s’avère être un véritable facteur de consolidation du dispositif en apportant un complément de financement.

Faux. La cartographie est mise à jour tous les lundis matin à 7h. Cette mise à jour comprend l’ajout des nouveaux acteurs qualifiés, mais aussi la suppression des acteurs déqualifiés ou fermés. Néanmoins, cette mise à jour nécessite la collecte d’un certain nombre d’informations qui ne sont pas accessibles facilement, notamment pour les associations, ce qui peut expliquer les délais de mise à jour pour ces instances.

Vous avez d'autres questions ?